Jack avait une très grosse bite. Je sais juste qu'il l'a fait. Pour être honnête, je ne l'ai jamais vraiment découvert. Mais j'ai fantasmé sur lui, me faisant tenir sa bite dans ma main, m'apprenant à la téter, à caresser sa dureté avec ma langue, à sentir le bout de sa bite caresser mes amygdales, remplir le fond de ma gorge, à le sentir palpiter, glisser dans et hors de ma bouche, juste prêt à éclater, et enfin la joie intense de sa semence, jaillissant fort, encore et encore, jusqu'à ce que je ne puisse tout simplement pas avaler son sperme chaud assez vite, tellement de sperme que ça jaillit des deux côtés de ma bouche, autour de sa grosse bite, et tombe sur mes seins de poule mouillée...
La vérité est qu'il m'a proposé une fois. J'habitais près du bout d'une rue qui menait à un immense parc sur une colline, principalement une forêt, avec d'énormes grands arbres. J'avais l'habitude de boire avec mes copains là-haut, et une nuit après s'être saoulés, nous sommes tous rentrés chez nous dans des directions différentes. Quand j'étais à environ 20 mètres de la rue, entouré d'arbres, dans l'obscurité de la nuit, tout à coup il était là. Debout là dans son pardessus. Ça m'a fait peur. Jack. Il a dit bonjour. Je ne savais pas quoi faire. J'ai dit salut. Il m'a demandé si je voulais voir le grand secret. Il pourrait me le montrer. J'avais peur, je ne savais pas quoi dire.
"Allez, remontons la colline et je vais te montrer."
"Je... je dois aller aux toilettes." Ça tournait un peu, on buvait déjà, moi et mes potes, depuis quelques heures.
"Ça va. J'ai du papier toilette. Allons-y, je te laisse l'utiliser."
En fait, il a sorti un rouleau de papier toilette de son manteau et me l'a montré.
"Je dois y aller" ai-je dit, et je suis parti.
Ce vieil homme avait une réputation. La rumeur disait qu'il avait fait des "choses" avec une fille qui vivait dans le quartier. Et où il habitait... précisément en face de l'école primaire. Pour être honnête, j'espère qu'ils ont arrêté le gars et qu'ils l'ont enfermé pendant longtemps. Je suis sûr qu'il est mort maintenant. Mais à l'époque, j'étais un jeune fêtard, je ne savais rien de mieux et je ne disais rien à personne.
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